+ pour resituer le contexte et expliquer comment un Rital pourrait rafler la mise d'ici quelques années :

"But to understand how a kid who grew up surfing al dente short-fetch Mediterranean slop has climbed to within a whisker of making the World Tour, you need to understand that Fioravanti is a little more cosmopolitan and a lot more worldly, and in many ways has been hothoused for this kind of success. He’s been on the road since he was 9, has lived in France, California, and Australia, gone to school at Huntington Beach and on the Gold Coast, surfed everything from Sardinia to Pipeline, and speaks five languages—Italian, French, Spanish, Portuguese, and slick English probably better than your own. The kid belongs to the world as much as he belongs to Italy.
Fioravanti started surfing just outside of Rome. “Growing up, my brother drove this little Mini car and I’d go with him surfing—the full Italian road trip,” he remembers. They surfed a wave 20 kilometers from Rome called Banzai, somewhat less consequential than the Hawaiian equivalent but enough of a buzz to get the kid hooked on this strange thing called surfing. “All my friends at school played soccer, but my mom would come and pick me up out of school and go, ‘There’s waves. Let’s go surf.’ I’m really thanking my parents for getting me into it, ’cause surfing wasn’t so big in Italy back then. Actually,” he laughs, “it still isn’t really that big now.”

At age 9, Fioravanti went to France and surfed Hossegor, and he’s hardly been home since. He’s followed closely in the footsteps of Europe’s other surfing wonder-boy, Jeremy Flores, signing with Quiksilver and moving to France, but springboarding widely from there. His stepdad is Stephen Bell, the same guy who’s been in Kelly Slater’s corner on Tour for 15 years, and then there’s Slater himself, who has been on dozens of surf trips with Fioravanti. “I’m lucky to spend time and surf with him,” says Fioravanti of Slater. “He’s still smashing all the kids and I just watch everything he does and just learn, learn, learn.”


Suite : [www.surfermag.com]


Google Trad toujours aussi hilarante pour Seagull et autres amateurs :

Mais pour comprendre comment un enfant qui a grandi surfer al dente court-fetch slop Méditerranée a grimpé à l'intérieur d'un cheveu de faire le tour du monde, vous devez comprendre que Fioravanti est un peu plus cosmopolite et beaucoup plus mondaine, et à bien des égards a été hothoused pour ce genre de succès. Il a été sur la route depuis qu'il a 9, a vécu en France, en Californie et en Australie, allé à l'école à Huntington Beach et sur la Gold Coast, surfé tout de la Sardaigne à Pipeline, et parle cinq langues-italiens, français, espagnol, portugais, et lisse anglais probablement mieux que votre propre. L'enfant appartient au monde autant qu'il appartient à l'Italie.

Fioravanti commencé à surfer juste à l'extérieur de Rome. «En grandissant, mon frère a conduit cette petite voiture Mini et je voudrais aller avec lui-surf le voyage complet routier italien," se souvient-il. Ils ont surfé une vague à 20 kilomètres de Rome appelé Banzai, un peu moins de conséquences que l'équivalent Hawaiian mais assez de buzz pour obtenir l'enfant accroché sur cette chose étrange appelé le surf. "Tous mes amis à l'école jouaient au football, mais ma mère viendrait me chercher à l'école et aller,« Il y a des vagues. Allons surfer. "Je suis vraiment remercier mes parents pour moi d'entrer dans ce, parce que le surf était pas si grand en Italie à l'époque. En fait, "il rit," il est toujours pas vraiment grand maintenant ".

À 9 ans, Fioravanti est allé en France et surfé Hossegor, et il a à peine été à la maison depuis. Il est suivi de près les traces de surf autre merveille-boy de l'Europe, Jeremy Flores, signant avec Quiksilver et de passer à la France, mais l'élan largement à partir de là. Son beau-père est Stephen Bell, le même type qui a été dans le coin de Kelly Slater sur le Tour depuis 15 ans, et puis il y a Slater lui-même, qui a été sur des dizaines de voyages de surf avec Fioravanti. «Je suis chanceux de passer du temps et de surf avec lui», dit Fioravanti de Slater. "Il est toujours fracassant tous les enfants et je viens de regarder tout ce qu'il fait et juste apprendre, apprendre, apprendre."
[www.surfermag.com]

Roger_Cavayes a écrit:
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> Google Trad toujours aussi hilarante pour Seagull
> et autres amateurs :
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J'étais justement en train de pouffer en lisant ça et j'avais pas vu la dédicace

ça manquait un peu de conseil d'administration mais y'a quand même du bon :
"...lisse anglais probablement mieux que votre propre."
ou bien encore :
"Il est toujours fracassant tous les enfants..."



A propos du sujet, je trouve ça impressionnant les mecs qui naissent pas au meilleur endroit pour devenir un champion et qui y arrive quand même en se disant : et si je ne rentrais plus chez moi pour aller surfer. Et ça marche!

Seagull a écrit:

> A propos du sujet, je trouve ça impressionnant les
> mecs qui naissent pas au meilleur endroit pour
> devenir un champion et qui y arrive quand même en
> se disant : et si je ne rentrais plus chez moi
> pour aller surfer. Et ça marche!


Mouai... enfin bon , papa / maman devaient avoir un peu de tune quand même pour trimballer leur rejeton aux 4 coins du globe et en misant tout sur le surf pour lui... moi c'est surtout cela que je trouve chaud (et chelou ).



Modifié 1 fois. Dernière modification le 05/10/16 08:36 par Brian.

Brian a écrit:
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> Seagull a écrit:
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> > A propos du sujet, je trouve ça impressionnant
> les
> > mecs qui naissent pas au meilleur endroit pour
> > devenir un champion et qui y arrive quand même
> en
> > se disant : et si je ne rentrais plus chez moi
> > pour aller surfer. Et ça marche!
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> Mouai... enfin bon , papa / maman devaient avoir
> un peu de tune quand même pour trimballer leur
> rejeton aux 4 coins du globe et en misant tout sur
> le surf pour lui... moi c'est surtout cela que je
> trouve chaud (et chelou ).

oui, c'est vrai que c'est pas non plus l'histoire du gars qui sort du ghetto

> oui, c'est vrai que c'est pas non plus l'histoire
> du gars qui sort du ghetto


comme Adriano
Le mérite qu'il a , lui .......

same old story!!!!